Milieux d'hémoculture BD BACTEC™
Réduisez le délai de détection durant la phase d'analyse grâce à une gamme complète de solutions de milieux d’hémoculture.
La combinaison des milieux aérobies et lytiques anaérobies BD BACTECTM Plus permet d'améliorer le délai de détection et de recouvrement des organismes aérobies et anaérobies.1
Le porte-feuille de flacons BD BACTECTM offre une gamme complète de milieux d'hémoculture développée spécifiquement pour la détection d'aérobies, d'anaérobies, de levures, de champignons et de mycobactéries afin d'améliorer les délais de détection et le recouvrement des organismes2 chez les patients adultes et pédiatriques.
À l’échelle mondiale, plus d’un tiers des patients hospitalisés atteints de septicémie décèdent avant leur sortie de l'hôpital. Les bonnes pratiques recommandent de prélever au moins deux séries d’hémocultures avant tout traitement antibiotique afin d’améliorer le taux de recouvrement des organismes.3
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La solution informatique BD Synapsys™ permet l'amélioration continue des bonnes pratiques de prélèvement d'hémocultures grâce au suivi de tendances et d'indicateurs.
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Le milieu BD BACTEC™ Lytic Anaérobic lyse les cellules sanguines, libérant les organismes intracellulaires.
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Le BD BACTEC™ Plus Aérobic neutralise efficacement une large gamme d’antimicrobiens.
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Le milieu BD BACTEC™ Plus Anaérobic favorise la croissance des organismes anaérobies et contient des résines pour neutraliser divers antibiotiques.
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Le Milieu BD BACTEC™ Standard Aérobic est un bouillon digéré de soja-caséine enrichi conçu pour le recouvrement des organismes aérobies.
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Le milieu anaérobique BD BACTEC™ Standard Anaérobic est conçu pour la croissance des micro-organismes anaérobies du sang.
- Rohner P et coll. J Clin Microbiol. 1997; 35(10) : 2634-2638.
- Hawkins R. Managing the pre- and post-analytical phases of the total testing process. Ann Lab Med. 2012;32 : 5-16.
- Vincent JL et coll. Assessment of the worldwide burden of critical illness: the Intensive Care Over Nations (ICON) audit. Lancet Respir Med. 2014;2 : 380-386.
